Par Team Full Tilt
Les pertes font partie du poker et tous les joueurs sérieux, incluant les meilleurs joueurs au monde, ne peuvent se rappeler toutes les fois qu'ils ont eu de longues séquences perdantes, incluant des mois de pertes. Parfois, le downswing débute avec une longue et mauvaise série de cartes. Une série de bad beats qui nous rendent impossibles les gains et qui affectent la bankroll. Pendant que la mauvaise passe continue et que l'argent s'envole, le joueur est forcé de se poser la question la plus difficile qu'il peut avoir à se poser: « est-ce que je suis victime de la malchance ou si je suis tout simplement mauvais »?
John D'Agostino sait qu'il est très difficile de trouver la réponse. « Chaque fois que je perds pendant quelques sessions d'affilés, je commence à me questionner ». D'Agostino ajoute. « Mais je sais que certaines journées, même si je joue parfaitement, je vais perdre. »
Erik Seidel fait remarquer que pour les joueurs de tournois, de longs mois sans bourses sont à prévoir. Dans une si longue période de pertes, il peut être vraiment difficile de savoir si on est victime de la malchance ou si notre jeu est à revoir. « C'est vraiment difficile à déterminer » nous dit Seidel, « mais la plupart d'entre nous ont tendance à croire que nous jouons mieux que nous ne jouons en réalité. »
Il y a une relation inévitable entre le fait de mal jouer et le fait d'avoir des mauvaises cartes. Les pros nous disent que le fait d'être malchanceux pendant un bon bout de temps peut nous amener à prendre de mauvaises décisions. Jennifer Harman note que quand les choses se mettent à mal aller, elle a tendance à pousser ses mains. « Supposons que j'aie AK et que je ne flop pas de paire, je vais nécessairement miser ou relancer ». Mais ça ne devrait pas être le cas. « Mon image à la table est mauvaise et personne ne croit que je peux floper une paire, donc je ne peux pas bluffer. Je devrais évidemment attendre de floper top paire. Lorsque ce sera le cas, mon adversaire va me caller jusqu'à la rivière et ainsi me payer ma main. »
Pour D'Agostino, une mauvaise série de cartes peut l'entraîner à jouer de manière plus timide. « De cette manière, mes mauvaises journées sont encore plus mauvaises ». Quelques fois, je me mets à jouer de manière plus passive. Dans le milieu d'une main, je me demande: « Est-ce que cette main va mal se terminer? » Mais si je joue la main comme je suis censé la jouer, je vais remporter le pot. D'Agostino affirme que quand il joue de manière trop passive, il rate de belles occasions de faire des bluffs.
Une mauvaise passe de cartes peut détruire la confiance d'un joueur prometteur. Harman ajoute « Il y a certains joueurs qui ont abonné le poker sur une séquence perdante parce qu'ils ne peuvent pas s'en remettre. Ils se mettent alors à jouer de plus en plus mal et croient qu'ils sont damnés à tout jamais. Par contre, soudainement, tout peut changer. »
Comment les pros font pour savoir ce qui cause leurs downswing? Harman recommande de partager des mains. « Je demande aux gens de me regarder jouer ou je fais lire mes mains à des amis et leur demande si j'ai bien joué telle ou telle main. S'ils me disent que j'ai mal joué, j'aurai donc à ré-évaluer la cause de mes pertes parce que je ne veux pas laisser cette mauvaise passe affecter mon jeu. »
D'Agostino affirme que la confiance est importante sur une table de poker. Donc, au milieu d'une passe malchanceuse, quittez lorsque vous être en train de gagner même si c'est pendant quelques mains seulement -. Cela pourra jouer sur votre mental et votre confiance. Une fois que la confiance est reprise, vous pourrez continuer à jouer normalement».
Finalement, un joueur gagnant doit pouvoir développer une auto-critique honnête de son jeu. Seidel note qu'il parle rarement de poker, mais lorsque lui et John Junada clavarde, les conversations débutent souvent par, « Regarde comment j'ai mal joué cette main. »
Lorsque vous jouez en ligne, il y a plusieurs manières de revoir votre jeu. Regardez l'historique de vos mains. Lorsqu'une session est terminée et que vous avez la tête tranquille, revoyez vos actions et tentez de déterminer si vous êtes victime de la malchance ou si vous avez tout simplement mal joué.
John D'Agostino sait qu'il est très difficile de trouver la réponse. « Chaque fois que je perds pendant quelques sessions d'affilés, je commence à me questionner ». D'Agostino ajoute. « Mais je sais que certaines journées, même si je joue parfaitement, je vais perdre. »
Erik Seidel fait remarquer que pour les joueurs de tournois, de longs mois sans bourses sont à prévoir. Dans une si longue période de pertes, il peut être vraiment difficile de savoir si on est victime de la malchance ou si notre jeu est à revoir. « C'est vraiment difficile à déterminer » nous dit Seidel, « mais la plupart d'entre nous ont tendance à croire que nous jouons mieux que nous ne jouons en réalité. »
Il y a une relation inévitable entre le fait de mal jouer et le fait d'avoir des mauvaises cartes. Les pros nous disent que le fait d'être malchanceux pendant un bon bout de temps peut nous amener à prendre de mauvaises décisions. Jennifer Harman note que quand les choses se mettent à mal aller, elle a tendance à pousser ses mains. « Supposons que j'aie AK et que je ne flop pas de paire, je vais nécessairement miser ou relancer ». Mais ça ne devrait pas être le cas. « Mon image à la table est mauvaise et personne ne croit que je peux floper une paire, donc je ne peux pas bluffer. Je devrais évidemment attendre de floper top paire. Lorsque ce sera le cas, mon adversaire va me caller jusqu'à la rivière et ainsi me payer ma main. »
Pour D'Agostino, une mauvaise série de cartes peut l'entraîner à jouer de manière plus timide. « De cette manière, mes mauvaises journées sont encore plus mauvaises ». Quelques fois, je me mets à jouer de manière plus passive. Dans le milieu d'une main, je me demande: « Est-ce que cette main va mal se terminer? » Mais si je joue la main comme je suis censé la jouer, je vais remporter le pot. D'Agostino affirme que quand il joue de manière trop passive, il rate de belles occasions de faire des bluffs.
Une mauvaise passe de cartes peut détruire la confiance d'un joueur prometteur. Harman ajoute « Il y a certains joueurs qui ont abonné le poker sur une séquence perdante parce qu'ils ne peuvent pas s'en remettre. Ils se mettent alors à jouer de plus en plus mal et croient qu'ils sont damnés à tout jamais. Par contre, soudainement, tout peut changer. »
Comment les pros font pour savoir ce qui cause leurs downswing? Harman recommande de partager des mains. « Je demande aux gens de me regarder jouer ou je fais lire mes mains à des amis et leur demande si j'ai bien joué telle ou telle main. S'ils me disent que j'ai mal joué, j'aurai donc à ré-évaluer la cause de mes pertes parce que je ne veux pas laisser cette mauvaise passe affecter mon jeu. »
D'Agostino affirme que la confiance est importante sur une table de poker. Donc, au milieu d'une passe malchanceuse, quittez lorsque vous être en train de gagner même si c'est pendant quelques mains seulement -. Cela pourra jouer sur votre mental et votre confiance. Une fois que la confiance est reprise, vous pourrez continuer à jouer normalement».
Finalement, un joueur gagnant doit pouvoir développer une auto-critique honnête de son jeu. Seidel note qu'il parle rarement de poker, mais lorsque lui et John Junada clavarde, les conversations débutent souvent par, « Regarde comment j'ai mal joué cette main. »
Lorsque vous jouez en ligne, il y a plusieurs manières de revoir votre jeu. Regardez l'historique de vos mains. Lorsqu'une session est terminée et que vous avez la tête tranquille, revoyez vos actions et tentez de déterminer si vous êtes victime de la malchance ou si vous avez tout simplement mal joué.
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